l’enfant malade – la maladie de Myriam

Hier, c’était un jour hivernal, Myriam a rentrée à la maison ruisselante d’eau (mouillée).

A la maison, sa maman la déshabille et elle la frictionne (frotte), elle a peur d’avoir une angine (bronchite, inflammation ).

Le matin la petite Myriam ne peut pas se lever du lit. Elle à la peau en feux. Les yeux sont blafards (pâles) et larmoyants (pleurants, plaintifs). Elle a les mains grêles (maigres), elle gémit ( gémir = se plaindre , pleurer , murmurer) .

A cet instant, la maman entre en disant : lève-toi ma chérie, il est tard. »

La fille répond difficilement : « je ne peux pas maman, je suis très malade. »

La maman se jette vers le front de sa fille. Il est brûlant. La fillette tremble (s’agite) de froid. Elle a le souffle court, elle manque d’appétit. La maman est affolée (inquiet, bouleversé, effrayé) alors elle s’élance au téléphone pour inviter le pédiatre (médecin des enfants). Dès qu’il arrive, le médecin ausculte (examine) Myriam. D’abord, il écoute les battements du cœur avec un stéthoscope. Ensuite, il observe le nez, les yeux el le fond de sa gorge à l’aide d’un abaisse-langue. Enfin il rédige une ordonnance en conseillant la petite malade : « il faut prendre soin à notre santé, Reste au lit trois jours et prends tes médicaments régulièrement. »

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